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  • 17 février 2023 Temps de lecture : 4 minutes
    CCI : la certification en langues à grande échelle grâce à TestWe

    Le réseau des CCI (chambres de commerce et d’industrie) a décidé de déployer sur tout le territoire sa certification en langues CLOE grâce à un réseau étendu de nombreux organismes de formation. Un développement à grande échelle rendu possible par la version « full web » de Testwe. Explications.

    CCI : la certification en langues à grande échelle grâce à TestWe
  • 20 janvier 2023 Temps de lecture : 3 minutes
    ChatGPT : comment éviter la triche aux examens ?

    Le déferlement de la vague ChatGPT n’aura pas mis longtemps à inonder les salles de cours et d’examens. Depuis quelques semaines, les témoignages de triche avec l’aide de cette intelligence artificielle (IA) se multiplient. Pour éviter cette nouvelle forme de triche, il y a des solutions comme TestWe. Et c’est ChatGPT qui le dit

    ChatGPT : comment éviter la triche aux examens ?
  • 12 janvier 2023 Temps de lecture : 3 minutes
    La certification ISO 9001 renouvelée pour TestWe

    En cette fin d’année 2022, l’équipe de TestWe passait elle aussi un examen : celui de la validation de la certification ISO 9001 pour une année supplémentaire. Une épreuve réussie avec succès !

    La certification ISO 9001 renouvelée pour TestWe
  • 16 décembre 2022 Temps de lecture : 3 minutes
    Notre surveillance des examens respecte les droits des utilisateurs

    A l’occasion d’une décision de justice du Tribunal administratif de Montreuil sur la volonté d’utilisation de notre solution par l’Institut d’Enseignement à Distance de l’Université de Paris VIII, TestWe souhaite rappeler la dimension et la forme de sa surveillance des examens sur sa plateforme. Notre unique objectif est d’éviter la fraude et la triche, pour une meilleure égalité des chances des candidats. Une différence fondamentale entre l’authentification et l’identification Pour un examen à distance, la difficulté principale est de s’assurer que la personne qui passe les épreuves est bien le candidat. Pour cela, TestWe procède à son authentification et non pas à son identification. Pour cela, une photo de profil est demandée lors de la création de l’espace du candidat. Au moment de passer l’examen, il est procédé à la comparaison entre cette photo et la personne devant la caméra de l’ordinateur. Il n’y a pas de vérification biométrique, de mesures du visage ou autre méthodes réservées à l’identification. C’est une différence fondamentale ! La décision est humaine En accord avec le projet de réglementation des examens à distance de la CNIL, la plateforme TestWe n’est pas automatisée puisque chaque décision est validée par un intervenant. Pour faire une analogie : comme un surveillant de salle vérifie que la carte d’identité correspond bien à la personne qui lui présente le document. Aucun accès aux données personnelles de l’ordinateur du candidat Pour limiter l’accès à des documents pendant le passage des épreuves, la plateforme TestWe interdit l’accès aux fichiers personnels le temps de l’examen. Et elle n’y a pas accès. TestWe utilise le clavier, l’écran, la caméra et le micro. C’est tout. Enfin, le logiciel se désinstalle en 30 secondes. TestWe respecte le RGPD Tout d’abord, la plateforme n’est pas responsable du traitement des données des candidats, cela reste de la responsabilité de nos utilisateurs comme les universités ou les écoles. Ensuite, les données d’authentification sont conservées pendant 2 mois seulement, le temps que les délais réglementaires de recours des examens soient passés. Elles sont à disposition de l’organisateur des épreuves uniquement. Elles ne sont jamais transmises ou utilisées par des tiers, même à des fins statistiques. Quant aux copies (les épreuves à distance), elles sont à disposition des mêmes personnes pendant deux ans. Des délais de conservation raisonnables comme le préconisent les autorités. Limiter la fraude dans le respect des libertés fondamentales TestWe est certifiée ISO 9001, nos services respectent les normes de la CNIL et du RGPD. Nous proposons à nos utilisateurs de pouvoir accéder à des enseignements prestigieux depuis des villes éloignées, sans frais de transport ou d’hébergement dans des capitales. L’enseignement à distance démocratise la transmission du savoir. TestWe est simplement un outil pour permettre la validation de l’acquisition des connaissances, en réduisant les risques de triche, en sécurisant les examens. A lire : La chronique de Benoît Sillard sur Linkedin

    Notre surveillance des examens respecte les droits des utilisateurs
  • 1 juillet 2022 Temps de lecture : 3 minutes
    L’évaluation en ligne post-Covid

    L’évaluation des connaissances et compétences se passe encore à distance pour de nombreux établissements scolaires ou centres de formation. Pour éviter de refiler le virus aux autres candidats assis dans la même salle d’examen, les épreuves en ligne semblent être la meilleure des solutions proposées à ce jour.  Mais quel impact aura cette nouvelle modalité d’évaluation sur les habitudes des examinateurs et des candidats une fois sortis des griffes du Covid-19 ? Une évaluation privée de contact mais aussi de justesse          Nombreux sont les étudiants qui saturent à l’idée de devoir passer des partiels ou des concours en ligne. Ils se sont abandonnés par les établissements dans le processus d’apprentissage et ressentent l’inégalité dans la conception des examens et dans leur correction. « Les examinateurs partent du principe que l’on dispose de toutes les informations dont on a besoin pour l’épreuve sous la main et que l’on va forcément s’en servir. Ils rendent donc les sujets d’examens plus compliqués que ce qu’ils auraient donné en temps normal en salle d’examen. » Cette injustice ressentie est également accompagnée par la peur d’être mal noté. Si les examinateurs partent de l’idée que tout le monde va tricher, alors comment juger un élève qui a bien répondu à toutes les questions ? A-t-il triché ou il a juste très bien appris ? « Ils en ont marre, mais moi, ça m’arrange ! »          Si l’on a des étudiants qui, une fois la pandémie loin derrière nous, ne voudront plus jamais repasser d’évaluations à distance, on a aussi une grande partie d’entre eux qui trouvent des avantages dans cette nouvelle modalité de passation d’examen ou concours. Parmi les principaux arguments il y a notamment la diminution du stress lié à l’examen car les candidats peuvent choisir une pièce ou endroit calme, confortable et sans distractions pour passer une épreuve, environnement qui les déstresse et qui permet de se concentrer. Autre avantage que trouvent les candidats dans cette épreuve est pouvoir utiliser les outils numériques tels que le traitement de texte, qui permet une mise en page correcte, facilité la rédaction rapide sans pourtant se soucier de la qualité de la calligraphie mais surtout qui permet de faire moins de fautes d’orthographe, chose que les examinateurs avaient l’habitude de pénaliser pour les examens en présence. Une solution temporaire ou un changement avantageux pour après ?         Aujourd’hui, de plus en plus de doutes liés à la fiabilité des évaluations en ligne sont écartés grâce à la présence de plateformes telles que TestWe qui permettent de s’assurer du bon respect des consignes de passation d’examens en ligne. Les écoles, universités ou encore centres de formations trouvent des avantages dans cette nouvelle modalité d’évaluation, avantages notamment budgétaires, de ressources humaines pour la surveillance et la correction des épreuves, de possibilité d’utiliser des logiciels qui facilitent le travail sans pour autant nuire à la fiabilité des tests.

    L’évaluation en ligne post-Covid
  • 28 février 2022 Temps de lecture : 6 minutes
    Comment obtenir la certification Qualiopi ?

    Depuis le 1er janvier 2022, la certification Qualiopi est obligatoire pour les organismes qui dispensent des actions de formation financées par le CPF (Compte personnel de formation) par exemple ou par des fonds publics. Cette certification remplace l’inscription sur Datadock, l’ancien outil d’aide au référencement des organismes de formation, mais elle est surtout beaucoup plus exigeante ! En quoi consiste exactement la certification Qualiopi ? Des objectifs aux critères, TestWe vous aide à y voir plus clair. La certification Qualiopi, qu’est-ce que c’est ? Pour mieux comprendre Qualiopi, un petit retour en arrière s’impose. La certification des prestataires d’actions de développement des compétences est prévue depuis la réforme du 5 septembre 2018. Cette loi, tournée vers « une nouvelle société de compétences », encadre la « liberté des individus dans le choix de leur formation », notamment en mettant en place des critères de qualité des prestataires de formation. La crise sanitaire a finalement retardé son application d’un an, le temps pour les organismes de formation professionnelle de concilier cette nouvelle exigence avec les urgences liées à la pandémie. Mais depuis le début de l’année 2022, on y est : la certification Qualiopi est bien obligatoire, même si le décret du 21 décembre 2021 laisse un répit de quelques mois aux retardataires. Quels sont les objectifs de la certification Qualiopi ? La certification Qualiopi vise à « renforcer la garantie de qualité des organismes de formation et CFA », selon le Ministère du Travail. Les organismes doivent désormais se conformer à un audit. Datadock référençait les formations avec 6 critères et 21 indicateurs, Qualiopi impose un audit, mené par un organisme certificateur, pour vérifier 7 critères et 32 indicateurs. Quels organismes de formation sont concernés ? Le Référentiel National Qualité (RNQ) concerne tout organisme ou tout établissement qui proposent un développement des compétences : des formations certifiantes ou non, des actions permettant la VAE (validation des acquis par l’expérience), des bilans de compétences… En résumé, toutes les structures qui dispensent des actions de formations financées par un opérateur de compétences, par l’État, par les régions, par la Caisse des Dépôts et Consignations, par Pôle emploi ou par l’Agefiph. Les centres de formation par l’apprentissage (CFA) doivent aussi être certifiés Qualiopi. « La certification est obligatoire pour les acteurs de la formation qui souhaitent continuer à bénéficier des fonds publics et mutualisés ». Aurélie Mendez, Responsable Projet Certification chez TestWe Mieux comprendre les critères de certification Qualiopi Pour décrocher la certification, l’organisme de formation doit démontrer la qualité de ses actions, et se soumettre à un audit. En France, 34 organismes certificateurs référencés sont en mesure de réaliser cet audit, parmi lesquels l’AFNOR, Bureau Véritas, Certifopac, Apave, ISQ, ou encore SGS. Quelle durée et quels délais faut-il prévoir pour cet audit, et quelles solutions adopter pour faciliter la certification ? Quelles étapes pour obtenir la certification Qualiopi ? La première démarche commence par une demande de certification auprès d’un organisme auditeur. La liste complète est disponible sur le site du Ministère du Travail. Pendant l’audit, chacun des critères du Référentiel National Qualité est vérifié. En général, l’audit en lui-même se déroule sur une seule journée. Il faut également prévoir un délai de plusieurs semaines entre la demande initiale de certification Qualiopi, et la journée d’audit. Cela laisse le temps aux entreprises de se préparer !Si les résultats attendus ne sont pas conformes, en cas d’écart(s) mineur(s), un délai supplémentaire est prévu pour les corriger. Entre la prise de contact avec un organisme certificateur et l’obtention de la certification Qualiopi, il faut néanmoins compter quelques mois. Être bien accompagné est un vrai plus pour gagner du temps, surtout pour mettre en place les outils adéquats ! Bon à savoir : en plus de l’audit initial, il faut prévoir l’audit de surveillance 18 mois après la certification Qualiopi, puis l’audit de renouvellement 3 ans plus tard. Quels sont les critères pour obtenir la certification ? Le référentiel national prévoit une évaluation sur la base de 7 critères. Chaque critère regroupe plusieurs indicateurs de qualité. Pour se préparer à l’audit, le Ministère du Travail propose un Guide de lecture du Référentiel National Qualité (RNQ) disponible en ligne. –    Critère n°1 : Conditions d’information du public sur les prestations de formation proposées, les délais pour y accéder et les résultats obtenus. –    Critère n°2 : Identification précise des objectifs des prestations proposées et l’adaptation de ces prestations aux publics bénéficiaires, lors de la conception des prestations. –    Critère n°3 : Adaptation aux publics bénéficiaires des prestations et des modalités d’accueil, d’accompagnement, de suivi et d’évaluation mises en œuvre. –    Critère n°4 : Adéquation des moyens pédagogiques, techniques et d’encadrement aux prestations mises en œuvre. –    Critère n°5 : Qualification et développement des connaissances et compétences des personnels chargés de mettre en œuvre les prestations. –    Critère n°6 : Inscription et investissement du prestataire dans son environnement professionnel. –    Critère n°7 : Recueil et prise en compte des appréciations et des réclamations formulées par les parties prenantes aux prestations délivrées. Le premier critère demande que l’offre de formation soit transparente, c’est-à-dire que le public soit bien informé sur la formation et les résultats qui peuvent être obtenus. Rien d’inattendu jusque-là, surtout pour des organismes qui étaient déjà référencés sur Datadock. « Pour montrer que le processus d’évaluation existe et qu’il est formalisé, les organismes doivent donner la preuve qu’ils utilisent bien un outil d’évaluation adapté, robuste et sécurisé» Aurélie Mendez, Responsable Projet Certification chez TestWe D’autres critères peuvent nécessiter un ajustement de certains aspects de la formation, notamment pour l’accompagnement, le suivi et l’évaluation. Jusqu’à présent, les organismes n’avaient pas obligation de prouver la validité du processus d’évaluation. Et ce, quel que soit le mode ou le format d’évaluation adopté au cours de la formation. Désormais c’est le cas ! L’évaluation doit aussi être adaptée aux apprenants : un format audio pour un public avec des difficultés de lecture par exemple.Évaluer est la clé d’une formation professionnelle réussie,

    Comment obtenir la certification Qualiopi ?
  • 28 septembre 2021 Temps de lecture : 6 minutes
    Bonnes pratiques pour la réussite d’un e-examen

    L’année 2020, en confinement, a permis aux équipes pédagogiques et aux étudiants de faire un bond fantastique dans l’appropriation des solutions d’e-examen. Cet accélérateur temporel a certes révélé des difficultés d’organisation mais a surtout fait émerger des bonnes pratiques. TestWe offre une solution simple, sécurisée et offline afin d’aider ses institutions partenaires à optimiser leur processus d’évaluation aussi bien en distanciel qu’en présentiel.  Pionnier en la matière, TestWe vient de publier un livre blanc dans lequel la société aborde les bonnes pratiques pour la réussite d’un e-examen. Dans ce premier article, TestWe rappelle ce qu’est un e-examen télésurveillé et souligne les enjeux auxquels sont confrontés les établissements et les diplômés. Il aborde également l’épineux sujet de la fraude, en rappelant les moyens technologiques disponibles pour réduire ce fléau. Qu’est-ce qu’un e-examen télésurveillé ? L’e-examen est une forme d’évaluation en ligne, qui peut être passée à distance ou non. L’étudiant répond à l’évaluation sur un ordinateur, depuis son établissement, son domicile ou tout autre lieu d’examen, au moyen d’une plateforme sécurisée pour réduire les risques de triche et de fraude. Les évaluations en ligne peuvent se dérouler de manière synchrone ou asynchrone. Dans le premier cas, la surveillance est assurée par une personne en temps réel alors que dans le deuxième cas, la prise de photo, la captation audio et vidéo via la webcam de l’utilisateur permettent une surveillance ultérieure. Le principe de l’e-examen n’est pas si nouveau, et de nombreux établissements y ont déjà recours dans le monde entier. Au même titre que les cours à distance ouverts à tous (MOOCs) ou que les ressources documentaires en ligne, les e-examens font partie d’outils que plusieurs universités ont mis en œuvre dans le cadre de leur transition numérique. Le dispositif d’e-examen répond à une obligation de faire passer les examens en ligne compte tenu de la pandémie, tout en minimisant le risque de triche. C’était un risque lié au confinement, mais qui s’est avéré fondé. Nous avions aussi un format de semestre dual permettant aux étudiants volontaires de poursuivre leur semestre à distance. Cette option a été privilégiée par la majorité de nos étudiants internationaux et/ou habitant à l’étranger ou en province. Directrice des études de l’ESSEC GLOBAL BBA Comment assurer la bonne tenue d’une évaluation ? L’e-examen est déjà expérimenté depuis plusieurs années. Depuis 2015, de nombreux étudiants Erasmus ont déjà testé la plateforme OLS (Online Linguistic Support) mise en place par la Commission Européenne. La raison est simple. Les enjeux pour les établissements : innovation, réputation et compétitivité Pour les établissements, cela montre une certaine capacité à faire évoluer leurs pratiques pédagogiques tout en tenant compte de l’internationalisation de leurs étudiants qui de plus en plus effectuent leurs stages à l’étranger et qui peuvent difficilement revenir dans leur établissement pour les évaluations de fin de semestre. La bonne tenue des examens est également un sujet critique pour la réputation et la compétitivité des établissements. En effet, tout comme elles garantissent l’excellence de leur enseignement, les écoles et universités doivent pouvoir garantir des examens qui se déroulent de manière sécurisée et vérifiée, en présentiel comme en distanciel. Les enjeux pour les diplômés : reconnaissance des compétences Le diplôme ou la certification restent un repère commun pour les diplômés et les entreprises qui les recruteront. Ils sont une preuve reconnue des compétences et des connaissances acquises pendant leur formation. Mais dans le contexte de la crise sanitaire, les étudiants redoutent que leurs formations soient dépréciées sur le marché du travail du fait du report (ou annulation) des stages, de l’organisation des examens dans des conditions inhabituelles. Une nouvelle fois, en assurant la tenue des évaluations dans des conditions sécurisées, alors leur crédibilité reste entière. « Ne rien faire n’est pas une option »  Pour notre établissement, il y a un enjeu d’équité et de maintien de la valeur des notes attribuées aux étudiants. Une trop grande proportion de triche fait courir un risque important pour la réputation du programme et de l’institution entière : la fraude à l’identité qui décrédibilise tous les efforts pédagogiques des enseignants pour adapter les formats d’examens ; la fraude de partage d’informations pendant l’examen qui met en cause la valeur des notes attribuées, du classement qui en découle, et de tous les processus associés (comme les affectations en échange, en mobilité inter-campus, la Dean’s list etc). » Directrice des étudesESSEC Global BBA La triche est-elle une fatalité ? Tout le monde s’accorde sur le fait que la fraude est aussi ancienne que les examens, même si les chefs d’établissement minimisent ce fléau. Aujourd’hui, on estime à 1/3 le nombre d’étudiants-fraudeurs. Mais avec le développement des technologies, la fraude a évolué et les moyens de l’éviter aussi. La réponse technologique et ses limites En asynchrone, les évaluations requièrent des dispositifs techniques spécifiques pour assurer leur surveillance. La prise de photo par exemple permet de confirmer la bonne identité de l’étudiant alors que la captation audio assure un environnement propice à la concentration, sans l’aide d’une personne extérieure (qui pourrait souffler les réponses).  Dans tous les cas, il convient néanmoins de tenir compte et d’ajuster sa technique de surveillance aux réglementations nationales en matière de protection des données personnelles. La réponse pédagogique, la meilleure solution aux volontés de triche Malgré les moyens technologiques disponibles de nos jours, un des moyens les plus efficaces pour contrer la fraude reste de choisir les formes d’évaluation qui évitent la fraude : tirer au sort les sujets, limiter le temps de réponses aux QCM, favoriser les travaux collaboratifs, valoriser les savoir-faire avec les nouveaux outils numériques. Cette réponse plutôt pédagogique doit néamoins s’inscrire dans une volonté commune de l’établissement et de ses enseignants à revoir leur manière d’évaluer et de contrôler les connaissances. Quels examens dans 10 ans ? Difficile d’imaginer que l’on continuera à avoir des examens « papier » dans une dizaine d’années. Les solutions en ligne et les examens au format numérique semblent bien partis pour s’installer durablement, tant l’usage de l’ordinateur se répand dans les amphithéâtres et

    Bonnes pratiques pour la réussite d’un e-examen
  • 20 juillet 2021 Temps de lecture : 4 minutes
    Comment éviter la triche pendant les examens à distance ?

    Tout savoir sur le proctoring pour éviter la triche pendant les examens à distance. La triche existe depuis l’organisation d’examens. En 2007, un rapport de l’inspection de l’éducation nationale estimait qu’un étudiant sur mille fraudait pendant un contrôle de connaissances. Comment répondre à ce fléau alors que de nombreux établissements supérieurs considèrent les solutions numériques pour assurer les évaluations à distance ? Comment assurer le principe de la protection de la vie privée tout en permettant une surveillance efficace des étudiants à distance ? TestWe vous propose à travers cet article des moyens de répondre à ces questions pour bien choisir sa solution d’évaluation en ligne et de proctoring (ou télésurveillance). Une solution simple, sécurisée et offline pour les évaluations à distance TestWe offre une solution simple, sécurisée et offline afin d’aider ses institutions partenaires à optimiser leur processus d’évaluation aussi bien en distanciel qu’en présentiel. Pour les examens dits synchrones, la surveillance est assurée par une personne en temps réel alors que pour les examens asynchrones, la surveillance est assurée ultérieurement grâce aux prises de photo ou à la captation audio et vidéo via la webcam de l’utilisateur.  La technologie au service de la surveillance En asynchrone, les évaluations requièrent des dispositifs techniques spécifiques pour assurer leur surveillance. La prise de photo par exemple permet de confirmer la bonne identité de l’étudiant alors que la captation audio assure un environnement propice à la concentration, sans l’aide d’une personne extérieure (qui pourrait souffler les réponses).  En Europe, la télésurveillance automatique (réalisée par de l’intelligence artificielle) est interdite car cette technologie a démontré des biais discriminatoires trop importants pour permettre une surveillance équitable pour tous. Aussi, seule la surveillance validée par un surveillant « humain » est possible en Europe. Malgré les solutions technologiques autorisées, il convient de tenir compte et d’ajuster son mode de surveillance aux réglementations nationales en matière de protection des données personnelles. Les réglementations en matière de télésurveillance ou proctoring En France par exemple, les établissements doivent s’assurer de la bonne application des textes en vigueur dont ceux de la CNIL ou du RGPD. Aussi, les données dites biométriques, relatives aux caractéristiques physiques, physiologiques ou comportementales sont clairement définies et encadrées. Un étudiant peut consentir au recueil de ses données personnelles, mais ces dernières doivent être utilisées sous une ou plusieurs finalités spécifiques : identifier la personne qui passe l’examen ou bien s’assurer que la personne est seule pour l’examen sont essentiels. Aussi, la surveillance vidéo en temps réel ou la prise de photographies, la captation audio de manière ponctuelle ou aléatoire pendant un examen sont permises.  Au contraire, l’usage des données personnelles au-delà de l’examen n’est pas autorisée : la prise de contrôle de l’ordinateur serait considérée comme disproportionnées par la CNIL. En tant que prestataire indépendant et non rattaché à un groupe non européen, TestWe est le seul acteur français et un des seuls européens aujourd’hui à pouvoir garantir une prestation de télésurveillance alignée à ces réglementations françaises et européennes.   La solution de Proctoring TestWe répond à 100% des réglementations françaises et européennes. Pour assurer le respect des intérêts et la protection des candidats et étudiants, TestWe est constamment en veille sur les sujets de réglementations et d’usage des données personnelles. Aussi, sa solution de Proctoring est totalement alignée avec la CNIL qui requiert une documentation détaillée sur la manière dont sont gérées les données et les modalités de contrôle pendant l’examen. Découvrez comment TestWe répond à ses pré-requis de proctoring réglementaires. Par ailleurs, TestWe s’est engagée dans une démarche d’accréditation afin de valider sa stratégie responsable et respectueuse des processus et principes de protection des données personnelles auprès d’un tiers de confiance tel que ISO. La société devrait ainsi être certifiée ISO 9001 d’ici la fin de l’été et ISO 27001 d’ici à la fin de l’année 2021. Ces dernières années de crise sanitaire ont conduit de nombreux établissements supérieurs à déployer des solutions d’évaluations à distance. Cet accélérateur temporel a certes révélé des difficultés d’organisation mais a surtout fait émerger des bonnes pratiques. Découvrez comment TestWe peut vous aider à optimiser vos processus d’évaluation tout en assurant une surveillance en phase avec les réglementations françaises et européennes.

    Comment éviter la triche pendant les examens à distance ?
  • 24 mai 2021 Temps de lecture : 3 minutes
    Guide pratique sur la gestion des examens en ligne

    Ces derniers mois, de nombreux établissements supérieurs ont mis en place des solutions d’e-exam pour permettre la tenue les examens et évaluations malgré le confinement et la fermeture des établissements.

    Guide pratique sur la gestion des examens en ligne
  • 13 avril 2021 Temps de lecture : 2 minutes
    Webinar : le numérique au service de l’enseignement supérieur

    Le modèle classique de l’enseignement fait actuellement face à une transformation digitale majeure. La démocratisation des outils de communication et l’émergence des plateformes digitales sociales et pédagogiques ont commencé petit à petit à révolutionner les stratégies éducatives, faisant ainsi muter nos manières d’apprendre et d’enseigner.  En partenariat avec Beecome et EduSign, TestWe vous invite le mardi 27 avril pour 60 min de démo et d’échanges sur les solutions technologiques qui accompagnent la transformation numérique des établissements supérieurs. Au cours de ce webinar, John-Edwin Graf (Président de Beecome), Elliot Boucher (Co-fondateur d’Edusign) et Clément Régnier (Directeur Général de TestWe) aborderont la transformation numérique des établissements du supérieur au travers de plusieurs problématiques : Rejoignez-nous le 15 avril dès 9h15 pour partager entre pairs vos retours d’expériences et vos problématiques et anticipons dès aujourd’hui la prochaine rentrée ensemble.

    Webinar : le numérique au service de l’enseignement supérieur