Voyez les étudiants comme un grand groupe d’athlètes, des coureurs qui se préparent pour un marathon aux Jeux Olympiques.
Des beaux et vigoureux athlètes. Cependant il y a un hic. On ne comprend pas vraiment pourquoi mais leurs entraîneurs ont décidé de leur mettre aux pieds des chaussures bien étrange. Quand on regarde de plus près, on aperçoit des chaussures de ski.
Ok.
Avec ces chaussures, les entraîneurs poussent les athlètes à courir vite, plus vite qu’Usain Bolt, et longtemps.
Sympathique et facile non?
Eh bien cette image se retrouve aujourd’hui dans l’Éducation. Bon c’est vrai beaucoup de choses ont changé, de nouvelles pédagogies très intéressantes se développent dans les classes et c’est une bonne nouvelle. Mais les chaussures de ski, elles, sont toujours aux pieds : ce sont les examens.
Au-delà d’être un casse tête pour les professeurs en termes de logistiques et de gestion des données académiques, les examens et les notes ont des impacts plus inquiétants sur les étudiants et l’apprentissage.
Selon certaines études, la pression sociale et le besoin d’avoir des bonnes notes pour assurer un succès professionnel tend à développer de l’anxiété, des troubles du sommeil voire de la dépression et tend à pousser les étudiants à se fixer uniquement sur les notes plutôt que l’apprentissage.
Pire, les étudiants tendent à choisir des voies où l’obtention de meilleurs notes leur paraissent plus simple. Autrement dit un diplôme ou plus une voie professionnelle qui leur facilitent la tâche académiquement puis financièrement.
On perd donc tout l’intérêt pour l’apprentissage et le développement de compétences et d’expertise sur des sujets qui les passionnent, pourtant la clé du succès personnel et professionnel.
Nice !
En conséquence, on se prend une claque en pleine figure : il n’existe pas de réel lien entre l’apprentissage et les évaluations et notes. Afin de répondre à ce problème de nombreuses méthodes sont apparues.
Parmis lesquelles on retrouve les évaluations engageantes, ou engaging assessments, l’apprentissage basé sur la compétence, et l’auto-évaluation.
Ces méthodes innovantes croissent de plus en plus et prouvent leur efficacité.
Cependant, les notes et examens comme nous les connaissons ne disparaîtront pas du spectrum de l’éducation supérieure. Ce n’est pas une mauvaise chose.
Simplement parce qu’ils permettent de manière objective de démontrer les compétences et maîtrises d’un étudiant entrant sur le marché du travail.
Mais le problème reste le même, l’apprentissage et les notes et évaluations restent à distance les uns des autres, alors que le but serait de les réunir.
On y arrive.
Il est nécessaire de pouvoir gérer les notes et les intégrer dans le processus d’apprentissage afin d’aider les professeurs à améliorer l’expérience.
D’où les e-Exams ! Ces solutions ne sont pas nouvelles, certes. Elles permettent de numériser les processus d’examens, d’optimiser les temps de création et de correction des examens ainsi que de les faire passer aux étudiants dans un environnement numérique sécurisé.
C’est bon ça, mais de cette manière on ne résout pas encore tout à fait notre problème.
Alors l’e-Exam a besoin d’un petit coup de frais.
Parce qu’en soit, il a tout pour réussir.
Il peut permettre aux professeurs de gérer les compétences à cibler par examen, il permet d’améliorer leurs qualités, d’optimiser les processus …
Ajoutez-y un outil de visualisation de données personnalisable à l’échelle, et là ça devient plus alléchant, on retrouve un focus pédagogique plus grand.
Allé, on y ajoute un peu d’épices, donnez à cet e-Exam les moyens d’automatiser (par l’I.A notamment) le tout et de communiquer ou faciliter la communication avec les étudiants, leur apportant alors de meilleures pistes sur ce qu’il faut mieux apprendre ou comment aller plus loin.
Finalement, la petite touch, rendez le adaptable à tous types d’évaluations, par exemple les auto-évaluations et bilan de compétences personnels, et on y est, on ressort avec un environnement numérique permettant de réconcilier notes, évaluations et apprentissage adapté aux étudiants et à la technologie d’aujourd’hui.
Bon, en France le débat sur la question du rôle de la technologie dans l’éducation existe. Effectivement, l’éducation ne devrait pas être au service de la technologie.
Néanmoins, la tech aujourd’hui permet de donner plus de chances, de mieux apprendre et développer les compétences de nos apprenants.
C’est juste un fait. Selon notre étude réalisée sur une centaine de responsables académiques, 50% ont déclaré que la numérisation de leur établissement était inévitable, 50% urgente. 75% ont affirmé que le développement de nouvelles méthodes d’évaluation et de notation était sur leur plan stratégique, ajoutant que la gestion des données d’évaluation était un critère important.
Alors voilà, l’e-Exam évolue et démontre qu’il a l’opportunité de régler le problème de dissociation apprentissage/évaluation et notes, qu’il a l’opportunité de mettre les bonnes chaussures aux pieds de nos étudiants, pour qu’ils soient prêt à mettre le paquet tout au long de marathon olympique qu’est leur développement personnel et professionnel.
Il faut simplement y jeter un coup d’oeil et l’essayer.
Et vous qu’en pensez-vous ? Quelle serait votre solution pour régler ce problème ?
Au fait ! Jetez un oeil à notre nouveau livre blanc ! Nous avons analysé les problèmes des méthodes d’évaluation et de notation ainsi que les nouvelles méthodes mises en place pour y répondre.